Euréka.....................merci (st)
écrit par andre85 le 21 mars 2003 11:17:05:
en réponse à: Bonne question... écrit par Gérard le 20 mars 2003 21:27:47:
>Bonne question, il faut bien que l'énergie vienne de quelque part.
>D'après ce que je comprends de cette lecture (mais je me trompe peut-être), il y a bien un "barillet de sonnerie" (donc un ressort), mais pour moi c'est le mouvement de la tirette (ou du poussoir) qui va suffire à le remonter (très peu) pour lui fournir l'énergie nécessaire pour ensuite engrener le mécanisme de sonnerie…
>La montre à répétition minute possède son rouage de mécanisme de sonnerie. Il est composé : d'un barillet de sonnerie, d'un arbre de barillet, sur lequel est ajustée librement une roue encliquetée appelée roue de fusée tournant dans un sens qui est en relation avec un cliquet ce qui permet de régler la tension du ressort de la sonnerie.
>Lorsque l'utilisateur actionne le verrou ou le poussoir de sa répétition, il agit sur le bras de crémaillère (4) qui va pousser la crémaillère à secteur denté (5). Ce secteur entraîne un pignon de crémaillère ajusté sur la base du carré de l'arbre de fusée (1), ce qui permet d'armer le ressort du barillet de sonnerie
>Bon, je suis pas du tout spécialiste et c'est vrai que le texte est pas très clair à ce sujet (est-ce que "armer" veut dire "remonter" ?). On pourrait effectivement concevoir que le mécanisme prenne son énergie ailleurs (pourquoi pas sur le ressort de la montre ?).
>Bon, comme il y a quelques LPDM'istes qui ont acquis une répétition minute, peut-être pourront-ils nous éclairer ?
>Amicalement,
>Gérard
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