Ben j'aurais pas aimé étre dans les parages (st)
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écrit par FRANCOIS le 02 février 2004 15:19:16:
en réponse à: braquage Augis, ça fait pas rire... écrit par Loran le 02 février 2004 13:35:18:
>la folie....
>le papier du progrès:
>Au lendemain du hold-up perpétré samedi matin dans la célèbre joaillerie Augis de la rue de la République à Lyon, l'un des deux policiers blessés pour avoir croisé le feu des malfaiteurs, est sorti de l'hôpital. Son collègue se trouve toujours hospitalisé, dans un état sérieux.
>L'enquête, confiée à la Police Judiciaire, suit par ailleurs activement son cours. Des témoins étaient entendus, hier, par les enquêteurs. Les auditions devraient d'ailleurs se poursuivre dans les jours prochains tant sont nombreuses les personnes ayant assisté au braquage en plein centre ville puis à l'échange de coups de feu avec la police dans le neuvième arrondissement de Lyon, quelques minutes plus tard.
>C'est aux alentours de 10h30, samedi matin, qu'une voiture Audi A 3 immatriculée en Suisse et de couleur bleu foncé, se gare devant le magasin Pimkie, rue de la République. L'un de ses occupants en sort, armé d'un fusil mitrailleur. Il profite de l'arrivée d'une cliente chez Augis pour pénétrer dans les lieux sans avoir à actionner la sonnette. Il est dans la place, ce qui permet à ses deux complices de le rejoindre. L'un d'eux, muni d'une batte de base ball, s'emploiera à briser les vitrines intérieures de la boutique, d'une épaisseur d'environ deux centimètres. Une vendeuse est légèrement blessée à la main par des éclats de verre. Les trois malfaiteurs, dont semble-t-il une femme, n'ont pas fait usage de leurs pistolets mitrailleurs. Le visage masqué par des écharpes de couleur foncé et habillés de noir, ils ressortent cinq minutes plus tard en hurlant. L'un d'eux, porte un gros sac foncé. Le butin ? Des montres de marque « Rolex», principalement, mais dont le nombre et la valeur n'ont pas été communiqués. Pendant le hold-up, un quatrième individu faisait le guet à l'extérieur, mettant en joue les passants avec sa mitraillette, leur insignant l'ordre de « dégager ».
>Quelques minutes plus tard, les malfaiteurs croisaient une voiture de police rue Joannès-Carret dans le neuvième arrondissement de Lyon. Il semble que les fuyards aient percuté la voiture d'un équipage de police et que des coups de feu aient été échangés. Ils sont toujours dans la nature.
>S. M.
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