Re: Sens commercial pas vraiment !!!
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écrit par Christian le 16 septembre 2004 23:02:11:
en réponse à: Sens commercial écrit par ZEN le 16 septembre 2004 22:32:19:
Bonsoir,
J'ai une IWC calibre 89 datant de 1948 avec anses cornes de vache...J'avais souhaité lui donner un coup de lifting en demandant si la manufacture avait encore des aiguilles identiques au modèle .
J'ai attendu plusieurs jours avant de m'entendre répondre que la maison ne détenait pas de telles aiguilles en stock ( alors que ce calibre a été mis en vente à 200.000 exemplaires )... on ne m'a pas proposé de la donner à la révision ni de me la remettre en état.
Donc tu vois on ne peut pas dire que cette maison est le sens commercial comme tu le soulignes!!!
Je précise que cela s'est produit récemmment 2 ou 3 mois...à contrario, je suis possesseur de la première montre bracelet de Zenith pour laquelle après recherches je me suis aperçu que les aiguilles n'étaient pas bonnes...
J'avais procédé de la même façon et là je suis tombé sur des gens charments que je remercie encore au travers de ce mail, et qui m'ont fourni gracieusement 2 paires d'aiguilles gracieusement pour une montre qui date des années 20!!!
Conclusion on ne peut pas faire d'un évènement isolé une généralité...
Cordialement.
Christian
>Il y a quatre ans ans,un ami horloger récupére d'un de ses confréres en liquidation pour cessation d'activité une montre IWC .Pas la Portofino mais un modèle plus ancien et assez proche.
>La montre est en épave .Vraiment en épave ...
>Il dresse en professionnel, la liste des pièces indispensables à la remise en état.
>Le coût est assez important mais trés trés raisonnable au regard de l'intéret de la montre et du nombre de piéces.
>Chez IWC, on lui suggére d'envoyer la montre pour s'assurer de la conformité de certaines piéces.
>Puis on lui établit un devis pour une révision compléte.
>Vu le nombre d'heures à passer , la proposition d'IWC lui semble trés intéressante car le surcoût pour la remise en état par la marque est modeste...
>Quelques semaines plus tard, il reçoit la montre ...neuve et méconnaissable.
>En fait, il a douté .Le cadran était neuf, la boite et le calibre aussi...
>il est probable qu'il ait bénéficié d'une sorte d'échange standard ce qui au vu de l'état du la chose envoyée était plus économique...
>Je trouve le geste trés digne et la marque particuliérement attentive à son image ...
>Il y a presque deux ans, j'ai connu un cas du même type...Je trouve une montre chrono Breitling Calisto en état déplorable ...Rayée avec un pic à glaçon, verre rayé mais dans mon esprit récuperable, cadran jaunatre , fond griffé en profondeur par un horloger qui aurait fait moins de dégats au burin.
>Le calibre un 1873 Lémania ne tourne plus et l'un des poussoirs a du être poussé avec un marteau...il est d'ailleurs coincé.
>Je paye cette épave royalement une centaine de francs de l'époque et l'envoie chez breitling pour devis.
>Le devis revient et je me demande à sa lecture ce qu'il va rester mise à part la carrure "polie au mieux".
>Je raye sur le devis, le changement du verre et de bracelet et renvoie par un horloger l'acceptation.
>Au retour , la montre revient méconnaissable.Calibre échangé ...cadran neuf, aiguilles neuves, fond neuf , et verre changé gratuitement !.
>Le tout pour 400 euros et des poussiéres.
>Je trouve que Breitling a été trés correct sur ce coup là et le SAV plus qu'efficace.J'ai passé un coup de fil pour leur dire.
>L'affaire n'est toutefois rentable pour le client qu'avec une montre achetée à trés bas prix...
>Le sens commercial n'a pas disparu et parfois les marques jouent vraiment le jeu ...
>Je regrette certaines épaves !
Réponses:
- Pas de généralités ; ZEN 17.9.2004 07:31 (0)