Epatant ! Et c'est quand même autre chose que le 7S26 (st)
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écrit par Pandani le 12 janvier 2007 00:31:25:
en réponse à: Revue : King Seiko chronomètre 4420 A9990 , de la bête de course de manufacture écrit par Ed le 11 janvier 2007 01:42:36:
>Trop souvent en parlant de Seiko on n'a évoqué que la Diver 200, mais il y a bien autre chose, et en particulier en vintage.
>Voici une King Seiko chronomètre , calibre 4420A 9990 .
>Les références de la production jumelle et concurrente de montre de qualité des deux frères Seikosha, Daini et Suwa, est particulièrement ardue et difficile non seulement à suivre mais encore à s'y retrouver.
>Je vais donc me contenter de surtout vous montrer des photos, et de renvoyer aux sites de référence que j'ai trouvé. Surtout, n'hésitez pas à préciser, corriger, apporter de la matière, etc.
>La ligne générale était la volonté d'assurer dans les années 60 une production de qualité équivalente à la meilleure des suisses. Nos amis nippons y sont ils arrivés ? je vous laisse juger, mais moi, ma King Seiko chronomètre, je l'aime bien.
>La boite en acier est d'un diamètre de 36 mm, tout à fait portable actuellement, ceci d'autant plus que les cornes sont longues et assez fortes, ce qui accentue l'effet de volume global. Justement pas très fin, l'ensemble ? :
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>Cadran argent, indexs appliqués, aiguilles dauphines, du très très sobre, pas de tritium, mais toujours un peu lourd :
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>Un mot sur la couronne : c'est une W SEIKO, et non pas une KS. A priori plus ancienne que la KS, mais la aussi j'y perd un peu mon
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>Et que nous apprend la littérature sur ce cadran ? Que nous sommes en face d'un King Seiko, et pas n'importe laquelle, celle équipée du calibre chronomètre 4420A - 9990, 27 rubis, diashock, avec en rab un stop seconde.
>C'est le même calibre que celui de la Grand Seiko 4420B si je ne trompe pas, mais pas celui qui a fini 3e au concours de chronométrie de neufchatel , c'était le 5722 à 35 rubis.
>Cette montre ci a t'elle été certifiée chronomètre ?
>D'après Seya Kobayashi, c'est la présence du lion doré au dos qui certifierait cette certification :
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>Ce qui expliquerait l'immonde cafouillis, où on ne comprend pas pourquoi des modèles équivalent ont le lion et pas d'autres.
>Sur la mienne, y a un lion , mais il est de travers, ce qui m'inquiète, mais bon.
>Autour du lion on apprend son numéro de série, qu'elle est waterproof, et en acier.
>Derrière le lion il y a les références :
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>Et enfin je vous montre le calibre.
>Pour être honnête, dans cette montre, c'est ce que je préfère le plus, en fait pour une bonne part d'esthétique. Ainsi j'aime beaucoup le pont du balancier (est-ce qu'on dit encore le coq, quand il est comme ça ?), que l'on retrouve maintenant assez souvent, par exemple chez Girard Perregaux.
>Y a du chaton, du réglage fin, du spiral bréguet, le stop seconde qui traverse le tout ... En fait j'aurais du rechercher le 5722 à 35 rubis, mais son architecture traditionnellle et la présence de la date m'on fait préférer le 4420.
>Admirez dans un sens :
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>Puis dans l'autre :
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>Quart de tour :
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>Et on redresse - sa qualité est est marquée dessus, comme le port salut :
>
>Réglage fin :
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>Le stop seconde ne rigole pas, on dirait un sabre :
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>Quelques vues d'ensemble :
>
>
>
>Arf, je vous l'avais dis, c'est pas de la daube. Niveau de finition suisse, peut être pas, mais quand même...
>Tiens, le tableau des standards, c'est du sérieux :
>
>Et pour finir un histogramme de production des Grand et King Seiko ( source Seya Kobayashi, comme celui des standards ) :
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>Et une photo de la boucle d'époque King Seiko :
>
>Voici trois sites pour aller plus loin si cela vous intéresse :
>- celui de DON
>- celui deSeba Kobayashi
>- celui Jayhawk
>
>Et je n'arrive pas à retrouver le site de SEPI ( seikoaddict ?), qui a contribué pour une grande part à mon intérêt pour Seiko
>Ed
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