Re: ******* PHOTOS : une montre de poête, la 117
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écrit par Deniz le 16 janvier 2007 13:06:21:
en réponse à: ******* PHOTOS : une montre de poête, la 117 écrit par Deniz le 15 janvier 2007 23:17:35:
Ah, la 117.
Je dois vous avouer que je suis touché que l'impression laissée par ces images convergent toutes dans le même sens.
Rappelez-vous la tarte flambée ou Emile et sa femme étaient venus nous rendre visite. Il avait à son bras Madame, et à son poignet la 117. Je suis de suite complétement tombé sous son charme. Nous avions tous eu les premières présentations dans ChronoMania. A l'époque, elle avait quelque chose qui comme la Peter Pan, m'avait vraiment tapé très fort dans l'oeil.
Et puis, la rencontre eu lieu ce dit soir de la tarte flambée. Pour tous ceux qui ont eu l'occasion d'avoir une G&S en main, c'est un moment qui ne laisse vraiment pas de marbre. Alors, quand une montre a été dessinée par Emile, pour Emile, on tape encore un cran au dessus. Par une personne baigné dans le monde de l'horlogerie, il n'ya forcement pas de faute de goût. De plus, pour qui a rencontré Emile, c'est un grand doux. Sa montre est donc à son image. Je me demande d'ailleurs si dans ses fantasmes, il ne serait pas Robin Wood ou Peter Pan, si, au lieu de Marx ou Challenge sur sa table de chevet, il n'y a pas l'intégrale de Rahan !
On a donc une montre une grande douceur, et d'une rare poésie. Pas de tape à l'oeil, mais une montre charmante, avec cet esprit d'enfant, de conte.
J'ai eu 2h30 pour faire les photos de 3 montres, après une scéance de nettoyage d'entrecornes plus que tardive et quelques rares heures de sommeil pour rêver à la 117 !
Je restais dans ces lymbes à mon réveil pour travailler à la 117, si poétique. La lumière, très douce de cette matinée, assez tôt, était parfaite, caressante, il ne manquait que les petits bruits des feuilles ou de cascade.
J'ai moi aussi gardé mon âme d'enfant, sinon je n'aurais pas succombé à la 117. A partir de là, tout fut donc assez facile, si ce n'est que le temps imparti était plus que compté, puisque Emile récupérait ses 3 montres dans la matinée, direction Genêve. J'ai laissé parlé l'alchimie de mon regard subjugué par cette montre. Plus que l'objet, c'était l'esprit de l'objet qui me fascinait.
Quelques dixaines de minutes plus tard, je me mettais aux I&MT
sous le charme aussi, mais cette fois par des objets qui en imposent, dont le décor fut donné par la paire de montres, le fond s'effaçant naturellement pour laisser totalement place à ces deux sérieuses pièces horlogères.Deniz
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