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Platine et ponts en or...


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écrit par Emile le 16 janvier 2003 22:59:41:

en réponse à: les finitions américaines écrit par Ze White Rabbit le 16 janvier 2003 18:15:05:

Oui, ça existe. Je ne me rappelle plus si c'est Parmigiani ou qqn d'autre.

Pour le reste, il est clair qu'après la grande crise des années 80, la profession s'est réorganisée autour de spécialisations et d'une organisation du travail par sous-traitance.

C'est vrai que ça casse un peu l'image (même type de phénomène dans la production automobile) mais c'est efficace et chaque spécialiste développe un savoir-faire hautement respectable. Cette affirmation concerne tant celui qui saura produire des millions de pièces x au meilleur prix, que celui qui saura finir la pièce y au meilleur niveau de qualité.

C'est la vie...

Amicalement,

Emile

>Les maître-horlogers américains avait développés des motifs de décoration assez intéressantes. C'est dommage qu'on trouve aussi peu de variantes chez les suisses... à part Roth, Parmigiani et Dufour.
>Au niveau des métaux utilisés, Seiko avait développé des calibres dont le platine et les ponts (*) étaient réalisés en acier inoxydable. Un peu comme le concept de la voiture De Lorean avec carosserie en inox, ça supprimait la nécessité d'avoir recours à des revêtements électro-chimiques. Apparement l'idée de Seiko 'a pas fais long feu, tant il est vrai que le laiton reste l'un des métaux les plus facies à usiner, tout en offrant quelques propriétés mécaniques intéressantes. Je me demande si l'idée d'un mouvement en or 18 kt serait techniquement viable. Après tout, l'or ne doit pas être trop dur à usiner non plus...
>


>(*): le platine est la base du mouvement, sur laquelle sont assemblés tous les rouages et maintenus par les ponts.
>Eclaté du calibre 5002 de chez IWC.




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