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Ils pètent un plomb chez Swatch...


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écrit par Laurent le 18 juin 2002 16:25:04:


Pour preuve, un article publié par WolrdTempus :

Swatch s'offre un spectacle temps et lumière à l'Acropole
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Article publié le 17 Juin 2002

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Samedi soir, le temps s'est arrêté au pied de l'Acropole. Sur un fond de musique de Vangelis, Swatch a dévoilé à l'ancienne Agora sa nouvelle collection: l'Irony Diaphane. Epousant le progrès technologique et corsetée dans une fine robe en aluminium, la Navigator est le premier modèle analogique affichant l'heure Internet et permettant de se connecter n'importe où dans le monde.

Mais Nicolas Hayek ne s'est pas contenté, lors d'un repas fastueux, de lever le voile sur cette nouvelle famille de chronomètres où le plastique transparent se marie à l'aluminium et à l'acier poli. Chronométreur officiel des Jeux olympiques d'Athènes de 2004, l'horloger a tenu à présenter son émissaire pour cet événement sportif: Carl Lewis. A son entrée sur scène, les flashs crépitent et les journalistes crapotent: la soirée est épique. «Il y en a que pour Carl Lewis», sourit Nicolas Hayek non mécontent de voir une nuée de photographes sautiller après la star.

Durant la journée, des sportifs de renom ont exposé un outil de leur métier tandis que chaque discipline olympique était présentée par un artiste. Un soleil de plomb scotche les curieux et le marbre millénaire est poli par les semelles en Néoprène inusable. Sur la droite, une chaussure grandeur nature du basketteur américain Shaquille O'Neal de près de 40 centimètres de long décorée par Pamela Anderson. De l'art Barbie rose pétant avec des pétales de perles et des plumes d'autruches. Plus loin, une raquette de ping-pong coupée en deux avec une balle en guise d'œil imite la nage d'un poisson rouge dans aquarium-vitrine. Plus loin encore, le designer italien d'automobiles Pininfarina a plongé dans le plexiglas un disque olympique en bois serti d'acier. On se presse, on se pousse, la foule vibre, le temps se suspend. Et l'horloger en tire les dividendes.

Le Temps / Florencio Artigot / 17 juin 2002




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