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Visite horlogère d'un strasbourgeois à Paris (long)


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écrit par Deniz le 05 septembre 2002 15:09:37:

Bon, allez, je m'y colle; ca me démange depuis dimanche.

Alors, le strasbourgeois est monté à Paris vendredi soir pour être debout de corvée de CHI de bonne heure samedi matin.Métro, direction place de l'Opéra. C'est génial, le métro.

9h30 : P'tit café Rue Royale, le temps de se calmer un peu et ne pas rentrer dans la première horlogerie comme un taureau qu'à pas vu un matador depuis 2 ans !

10h00 : On commence tranquille :
Royal Quartz. Je suis acceuilli par un monsieur très sympatique, cheveux bouclés, avec une calvicie légérement naissante (pour les habitués de la Rue Royale).

Bon, ben, faut y aller me dis-je.

- Bonjour, je suis interessé par les B&R 126.
Eh, hop, le v'la parti, triffouiller dans la vitrine.
3 minutes après, j'ai toutes les versions de la 126, hormis le cadran or.

Eh oui, ma CHI, entre autre, c'est Bell&Ross. J'ai ma Space 3 au poignet, que j'adore, malgré certains défauts (mais c'est une autre histoire) et les Vintage 126 me font craquer, au point d'être prêt à plonger une deuxième fois pour B&R si l'occas se présente.
126 Version or fond blanc, ha, quel cadran, quel cadran. Quelles aiguilles (bleuies en forme de feuille de saule). Mais par contre, le boitier or, punaise, c'est or. Pan, dans les dents, c'est vraiment très flashy. Dommage, dommage. Le mouvement visible derrière renvoye la lumière un peu n'importe comment, cela est dû a la couleur du métal or du mouvement. Le bracelet, croco est très joli, va très bien avec la boite or.
Et puis près de 7000 euros pour une 126, parce que le boitier est en or, ça me fait un peu mal.

La version 126 acier fond bleu cadrans blanc, bracelet cuir bleu nuit (?) à présent
la 126, classique. Rien n'est exceptionnel, mais tout est bon, tout est cohérent, rien n'est trop clinquant, et d'un prix assez abordable.
Elle a la lisibilité des B&R, ce bel équilibre du cadran, dû entre autre à la symétrie du logo. La date est discrète, mais bien là. Les aiguilles sont jolies, on peut laisser filer la trotteuse du chrono sans que le cadran ne devienne un champ d'aiguilles de toutes les couleurs comme sur ma SPace3 (keske vous voulez, j'aime voir tourner la trotteuse). Le boitier acier est beau, très classique (Coltebert a fait ca avant B&R, merci un des participants de la LPDM), avec de beaux poussoirs-clou. Les coutures blanches du bracelet donnent un touche sport bien sympa. On est certes pas à la même qualité que le bracelet de la série Gold, mais ca a de la gueule.

L'arrière de la boite propose une grande ouverture sur le mouvement, 7750 classique, en acier cette fois-çi, ce qui donne une très bonne visibilité de la mécanique.
Elle a un poids certain très agréable. Oui, vraiment, c'est une montre qui ne me donne pas d'état d'âme, à me bloquer sur des détails qui me titilleraient. Rien d'exceptionnel, rien de mauvais, que tu bon. Tiens, d'ailleurs Jojopointcom pourrait vous en parler, il en a une, le veinard. J'achète !

Voilà. C'est sûr, celle là, en occase, je craque. En neuf, faudra négocier !

C'était rigolo, car le vendeur essayait de regarder en même temps que moi, très attentionné,

mais il n'arretait pas avec sa tête de boucher la lumière venant du plafond. J'y voyais rien, et j'arretais pas d'aller à droite, puis à gauche... et lui aussi ! J'ai bien apprécié le fait qu'il n'essaye pas de me vendre à tout prix, on est resté sur des considérations ésthétiques. Puis, il a commencé à jouer, en me montrant comment on pouvait assortir

d'autres bracelets sur la version Acier. Brun, bleu foncé, croco. Ce fut très enrichissant, et je l'en remerçie. J'avais lu un jour, peu-être dans les FAQ de la LPDM qu'avant de changer de montre, essayer de changer de bracelet. Cela change la montre, et c'est moins cher ! Pas bête, le gars qui a écrit cela. En plus, la 126 acier se prête bien à ce jeu.

Bref, ce monsieur, qui m'a donné sa carte (que j'ai égaré, j'ai horreur du papier!) m'a consacré une très grosse demi-heure, alors qu'il savait que j'ai un revendeur B&R sur Strasbourg (Bonjour, Mr Kreiter, à tout bientôt), et dès le début, j'aime bien mettre les choses au point, je ne suis pas là pour acheter aujourd'hui, au moins le débat n'est pas pollué.

Merci Monsieur, j'ai passé un moment bien agréable.


11h00, Bon, au suivant.

Jeager-LeCoultre (c'était pas prévu, mais puisqu'on y est) :
Un coup d'oeil à la vitrine, et là, la panique, LA Sun/Moon acier/fond noir, celle que je voudrais enfiler au poignet de ma douce et tendre.

Une jeune vendeuse m'acceuille poliment, un peu tendue. Moi aussi !

La demoiselle me sort le tableau. Elle essaye de me sortir 36 arguments, pour me convaincre.

Je l'ai bien sûr laisser faire, rien de plus dégueu de casser une personne qui débute et pas forcement à l'aise, mais lui ai fait passer le message que je n'achetai pas. Ca l'a un peu relaxé. Le naturel est quelque chose qui s'acquière avec l'âge.

Cette montre est vraiment un petit tableau pour enfant. La calligraphie japonaise, les couleurs vives dans des petits encadrements. Je ferais bien une toile, on enlève la boite, le bracelet, et on agrandit le tout 100* !
Par contre, quelle déception, la montre n'arretait pas de refleter. Le cadran demande tellement à être vu, qu'on veut s'y plonger, et systématiquement, il y a un reflet qui vient gener. Ca m'a assez foutu les boules, pour une montre si chère, si belle. Bon, j'ai les fonds, je craque qd même, et un verre doit pouvoir se faire traiter anti-reflets. Je suis

assez du style à trouver un fournisseur pour traiter le verre, à monter chez JlC pour le démontage , et patati, patata. Mais, bon, bref.

Côté mouvement, il n'y a rien à dire, c'est très joli. On atteint pas des degré de finition extra-ordinaires, mais ce n'est pas le cheval de bataille de JlC. Ils onty plutôt une politique de mouvement techniques, originaux, très petits (qd on voit les complications qu'ils font dans un boitier de Reverso)

Ah, au fait, JlC a augmenté de 10%. Le cours du franc suisse m'a t'on dit ! ...

La demoiselle veut me la passer au poignet, je lui renvoie la balle, et s'est elle qui la passe au poignet ! Et oui, c'est comme cela que je verrais cette montre en cas de folie !
Belle ! La demoiselle avait un poignet un peu fin, et elle pensait que cette montre ne lui allait pas, mais une Sun/Moon va à tout le monde.

OK. Perso, chez, JlC, la Réserve de marche de la Master Geographic me plait éééénormement.

Du coup, je commence à en parler, et là, tout à coup, une Master arrive sur la table, alors que ma demoiselle n'avait pas bougé. Et oui, c'est ça, dans ces boutiques. En fait, vous avez deux personnes : votre interlocuteur, et en "arrière", une autre personne qui suit la conversation, et amène les pièces concernées. C'est agréable, vous ne pouvez pas savoir. Ca

roule, une mécanique bien rodée. De la belle vente.

Alors, cette Geographic ? Et bien, elle ne se fait plus en fond noir, pour des raisons de lisibilité et elle est remplacée par un fond anthracite. Certainement le même fond que la nouvelle Reverso Septantième. Tout la profondeur et les différentes profondeurs du cadran sont effacées. Du coup, très vite, je parle de la Geo cadran blanc, et bien évidement nous

nous retrouvons avec 2 autres Geo (boitier acier cadran blanc et crème pour le boitier or blanc). Pour ceux qui fond de la bécanne, je vous dit pas la bourre. P... quel comparo les gars. Qui c'est qui s'y colle à la photo à la sortie du gauche qd on râcle le genou ?

De plus, le feeling des cornes un peu rapprochées par rapport à la taille de la boite se confirme.

Bref, au bout de 3/4 d'heure, je sors du magasin, avec un merci/au revoir courtois de toute l'équipe de vente. Je reviendrai, accompagné de ma tendre. Et tant pis pour le porte-monnaie si elle craque. Tant mieux pour ses yeux, et accessoirement les miens. Parce que je vous assure que quand vous les voyez en vrai, les Reverso, il n'y a pas que celle qu'on aime dans

le catalogue qui est belle !

11h30 : Pause café ! Coup de téléphone à ma douce et tendre. Ca va, elle est rassurée !j'ai pas craqué chez JlC. Mais, je lui donne la suite des événements, et en fait, c'est mon but de cette tournée. Elle me demande de la rappeler après la prochaine visite prévue.


Direction place Vendôme, Dubail. Je sais qu'ils ont ce que je veux voir, ayant appelé d'abord la maison mère qui m'ont dirigé chez eux.
Je commence le tour de la place.

Vertige...

Breguet, c'était pas prévu ! Mais, leur Phase de Lune et Reverse de marche, ainsi que la date simple ... brrrrrrrrrrr. bleuble. pouetpouet pouet. areuhhh

Bon, je sonne, la porte s'ouvre sur une petite boutique. Deux femmes, permettez moi aucune description, et un "gardien".

Là, l'accueil est tout simplement parfait. J'ai pas une tête d'un type pété de tunes (pardon

pour l'expression). Mais tapis rouge.
Cette dame m'acceuille avec un sourire naturel, une aisance, qui vous fait vous asseoir avec un plaisir et une décontraction rare. Ambiance feutrée.
Ca y est, cette reserve de marche/phase de lune est devant mes yeux. Le mythe du dessin des cadrans Breguet n'est pas volé ! Qu'est ce que vous voulez que je vous dise moi, hein ?
Equilibre, lumière, sérénité, brillance. On parle avec d'autres termes, on regarde avec d'autres oeils, on bat avec un autre rythme. L'effet des différents guillochages :
rayonnant sur la reserve à 11 heures, parallèle sur la phase de lune, "diagonal" sur la petite seconde, "carré" sur le reste. Le cadran est grand, tout est à son aise, à sa place. Les aiguilles sont majestueuses, discretes, la perfection.
Je me suis perdu la loupe à l'oeil longtemps dans ces guillochage. Quel travail.Le boitier classique ne fait finalement pas "vieux", car il est d'une parfaite discretion. Ah oui, les boites sont en or blanc. Nous nous disons qu'elle risque d'être grande pour le poignet de ma douce. Ma serviteuse (!) passe la montre à son poignet, un peu grand en effet. (En passant sur son autre poignet, il y a un tonneau bourré de diams, j'aimais pas les diams, mais p... c'est beau, très classieux, mais en même temps, ca ne vous en jette pas plein la tête)

Puis, je demande l'automatique simple, avec date à 6, et seconde centrale. Elle me fait craquer. Simple. Date, discrete, très même, au point qu'on ne la voit pas si on regarde juste l'heure, elle vit, et oui, une seconde centrale comme cela, ça vaut tout stimulateur cardiaque. On a à nouveau un cadran d'une proportion parfaite, avec un guillochage d'une très grande classe. Dommage, très dommage, très très dommage, car ce modèle, avec la couronne finement brosée des index collés à la carrure ne se fait plus. J'avais le dernier modèle en main. J'attend un débouclage financier dans les mois qui viennent, mais quand ?

Trop tard, c'est certain, la pièce que j'ai en main sera partie. Et je ne veux pas engager 60-70.000 balles sans certitude. Peut-importe le poignet, le mien, le sien !

Dommage, car, a présent la carrure est un peu en retrait sur le nouveau et personnelement, cela casse tout l'équilibre de la montre.

Bref, ma dévouée servante voit mon embarras, mon engouement pour le travail Bréguet, et me

propose de voir la collec marine femme. Bien vite, je me détourne, car je trouve les modèles trop petits. Il y a une telle sérénité dans les boitiers "classique". Du coup, nous jouons avec les bracelets. Quel plaisir d'être reçu comme cela.
Je suis plutôt fidèle dans mes choix de magasins, et si un jour, je/on craque pour une Bréguet, pour ma part, ce sera avec cette dame, dans cette boutique.
Oui, mais bon, la date est à 70 Kf, la reserve/lune à 160, et c'est pas demain la veille.

Ah, just for fun, je lui ai fait sortir un tourbillon !
J'ai enfin compris comment le l'énergie était transmise au mouvement. Personnelement, je préfère de loin l'esthétique, j'ai bien dit l'esthétique d'un tourbillon BlancPain (m... qu'est ce que j'ai pas dit comme bétise). J'adore le balancier décentré dans le tourbillon. Il se passe plus de choses que dans un tourbillon "classique". Je n'ai pas eu le temps d'aller chez "Tourbillon" rue royale, voir les tourbillons BlancPain !

Bon. Je souhaite à quiconque d'avoir une pièce Bréguet en main car parler d'une telle montre montre n'est pas la meilleure des choses. Il faut l'approcher.

13h00.
Et oui, j'y suis resté un bon moment dans cette boutique. J'en suis sorti bouleversé. Quel travail, quelle pureté.

Je fais le tour de la place, et j'arrive devant Dubail. Je cherche Vacheron...
Ca y est, à gauche en haut. Elle est là.

J'entre, une dame, 50aine m'acceuille, courtoisement, on va dire. Je lui demande de la sortir. Et oui, les gars, on y est !

Vacheron-Constantin, Malte Quantième Perpétuel, platine.
La dame me la pose sur la table.

Un monstre de puissance.
La lame parfaite.
Elendil.


La boite est très épaisse, du fait des complications et du fond officier. Dans un style bien différent de Bréguet, c'est parfait.
Bréguet, les classiques, ca impose sa sérénité.
La VC-QP elle impose non sa force, mais sa puissance, une main de fer dans un gant de velours. Oui, c'est ça. Je ne sais pas si c'est dans cet esprit que VC a dessiné cette montre, en tout cas ...

J'ai plus de mal à la décrire, cela reveille peut-être des choses profondes en moi ?
Bref je la passe au poignet. quel poids, mais quel poids.
Pile poil à mon poignet. Pile poil, je vous dit. Jamais montre n'a trouvé aussi bien ca place. Tip-top. Confort de la forme, du bracelet.

La seule facon que je pourrai décrire cette pièce serait en la photographiant (les Bréguet aussi du reste. Mais, non, les gars, j'ai pas parlé de la dame !).

Je serais seul, pas d'enfants, évident, je vendrais tout ce qui roule, qui vit (j'en vendrais mon chat) pour la passer au poignet.

Les commandes du chrono sont d'une douceur incroyable. J'en étais au point de prendre ma respiration, puis la bloquer pour sentir, entendre, frissoner de la commande déclenchée.

Retournez la pièce, un majustueux et imposant, par son poids, fond officier s'ouvre sur un mécanisme manuel.
Le mécanisme est très très beau. D'un dessin très doux, très fin. Un Lémania. Le même que celui qui est dans le VC Chronographe historique, avec un plateau perpétuel en plus bien sûr. C'est le type de travail sur un mouvement que j'aime. Autant, les cadrans Bréguet me font vibre, autant l'esthétique du travail sur leur mouvement me déplait. Ici, on joue la simplicité, peut-être une touche de poésie, en tout cas une certaine fraicheur, légèreté.
Je n'ai encore jamais eu d'Audemars en main, mais je crois que c'est un peut le même esprit.
Très belle finition des pièces, vraiment très beau, très soigné. Je reste des minutes entières la loupe à l'oeil.

J'arrète de me faire mal. La dame range la QP.

L&S :
Bon, vite fait, l'heure tourne, mais je ne peux louper l'occasion. Je lui demande, rien que pour la curiosité, de sortir la Datograph. Le cadran m'a toujours rebuté en photo, le contact visuel me le confirme. Pas grâve. Comme dirait l'autre, tu met un coussin dessus, et tu la retourne.
Je la retourne.
VC, c'était bien, très bien en finition.

Euh, là, qui peut me donner des superlatifs subjonctifs, correlatifs ? J'y vois mes poils dans l'pif !
270 - 280 Kf. Ben, c'est cher le chrono grande date. Mais la qualité du travail est monstrueuse. Non déscriptible. A voir AB-SO-LU-MENT. Avec la loupe du plus fort grossissement que vous trouviez. Et là, je lance un jeu, le premier qui trouve le plus petit défaut de polissage dans ce mouvement, je me déplacerai pour lui payter des cacahuètes !

14h30 : Je commence à être fatigué. J'ai vu ce que je voulais voir.
Mais je ne saurais pas ne pas aller chez Antoine de Macédo, St Germain, chez qui j'étais déjà avec ma douce quelques mois auparavant.
Chez Clément et Jean-Marc quoi !

L'accueil est très détendu, c'est vrai que j'y étais déjà.
Avant de partir à Paris, je m'étais promis de voir une Daniel Roth.
Ben non, la VC historique. En fait, elle ne me fait pas vibrer, mais le mouvement (voir VC PQ plus haut) me plait beaucoup.

En fait, on discute + culture générale, CHI, pourquoi B&R, pourquoi pas ci, ou ça. Bref, on passe le temps à discuter montres. Sympa comme tout. Il s'y mette à trois pour me convaincre d'une Portugaise plutot qu'une 126 Gold. Oui, mais, y a pas le mécanisme sur la Portugaise. Par contre, c'est vrai, la finition est toute autre. Du coup, on joue avec la rattrapante. La Breguet de Jean-Marc se retrouve sur la table, et je ne sais plus ce qu'il passe au poignet.
Entre temps, un ami de Clément arrive.
Bises (lui et Clément, pas moi)
- Bonjour, tu portes quoi aujourd'hui ?
- Panerai. Et toi ? Dato ?
- Oui.

Nous voilà 4.
Alex me vante la qualité des IWC, Portugaise en particulier. Il me sort aussi un chrono AP de la vitrine. (question de gout)

En fait, je commence à comprendre la philosophie de chez Antoine, et des pièces qu'ils présentent. Je manque de culture horlogère pour le dire, mais c'est qque chose comme montres historiques, classes mais discrètes, garde-temps dont on ne se défait pas.

La prochaine fois, d'ailleurs, il faudra que je leur demande pourquoi ils vendent B&R.

Bref, plein de choses dites, très sympa. En plus, si un jour vous pourrez voir de belles photos de VC ou ROTH, ce sera grâce à eux.

Merci à vous Macédoniens de l'acceuil.

Je suis sur les rotules. Je dois à présent vaquer à d'autres occupations et rentrer sur Strasbourg.


En attendant, je vous dit à bientôt, car il me faut travailler. Vivement ce soir que je puisse bosser sur ma page WEB de mon Invar, pour vous la présenter bientôt.

Deniz.



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